lundi 25 novembre 2013

youd teth kislev

בס"ד
יט כסלו
Hag hagueoula
Nous avons assisté à un Kinouss au Lycée de Youd Teth Kislev des plus réussi.

Organisé par le Professeur Principale des Terminales, Mme BELINOV, que nous remercions chaleureusement, ce kinouss, tout en liant l’humour et l’étude,  a été une source d’inspiration pour toutes nos élèves, des décisions édifiantes ont été prises, et des leçons vivifiantes apprises.

Un peu d’histoire (exrait de chabad.org)

« Youd-Teth Kislev » (le 19 Kislev) est le jour où Rabbi Chnéour Zalman de Lyadi, l’« Admour Hazakène », auteur du Tanya et du Choul'hane Aroukh, et fondateur de la ‘Hassidout 'Habad, fut relâché (en 1798) de la forteresse Pierre-et-Paul de Saint-Pétersbourg, où il avait été incarcéré sous la fausse accusation de rébellion et de haute trahison. Son innocence une fois établie, non seulement sa vie fut sauvée, mais le mouvement 'hassidique connut à partir de ce jour un nouvel essor. C'est pourquoi « Youd-Teth Kislev » est célébré comme le « Roch Hachana de la ‘Hassidout ».
Comme cela est bien connu, la ‘Hassidout fut introduite par Rabbi Israël Baal Chem Tov, et continuée par son disciple et successeur, le Maguid de Mézeritch. Elle connut ensuite un développement extraordinaire grâce au disciple de ce dernier, l’Admour Hazakène, Rabbi Chnéour Zalman de Lyadi.
La ‘Hassidout en général, et la ‘Hassidout 'Habad en particulier, révèle une grande part de la sagesse cachée de la Torah, sagesse qui, dans le passé, avait été enseignée seulement à un petit nombre de saints érudits en Torah, dans le langage mystique de la Kabbalah. Pour la plupart des érudits du passé, la langue de la Kabbalah était comme un code secret, confié à quelques saints choisis de génération en génération. Toutefois, le Baal Chem Tov et ses disciples, particulièrement le Maguid de Mézeritch et Rabbi Chnéour Zalman, commencèrent à expliquer la sagesse secrète de la Torah en un langage simple, employant des paraboles, des illustrations et des exemples pour rendre d'un accès facile à la plupart des Juifs ces pensées et ces enseignements.
Certains Rabbins et chefs 'hassidiques bien intentionnés pensèrent qu'une grande part de la ‘Hassidout est enseignée en pure perte dès qu'elle atteint le Juif moyen, le Juif ordinaire. « Si la plupart des Juifs, disaient-ils, ont pu s'en passer jusqu'à ce jour, pourquoi ne pas continuer ainsi ? » En réponse à ces critiques, Rabbi Chnéour Zalman raconta l'histoire suivante :
Un roi avait un fils unique qui tomba un jour gravement malade. Les médecins de la cour firent tout ce qu'ils purent pour le ramener à la santé, mais en vain. L'état du malade empira, et si rapidement, que bientôt il ne put plus ingérer aucun aliment, aucune boisson, et même les médicaments. Les hommes de l'art se sentaient tout à fait impuissants, ils ne connaissaient aucun moyen d'enrayer le mal et de sauver le prince. Tous, sauf l'un d'eux. Grand spécialiste, il savait quel remède pouvait rendre la santé au jeune prince. Mais il savait aussi que sa préparation requerrait un si grand sacrifice qu'il n'avait osé parler jusque-là. Mais voilà que tout avait été tenté, et que rien n'avait réussi.
La pierre précieuse
Le moment était venu où il ne pouvait plus hésiter. Il parut devant le roi et dit :
– Majesté, je peux sauver votre fils, mais le remède est si spécial que je n'ose même pas parler. D'autre part, toutes les tentatives ayant été vaines, il ne nous reste que cette seule ressource.
– Quel est ce mystérieux remède ? s'enquit le souverain qui commençait à nourrir quelque espoir.
– Pour le préparer, il serait nécessaire d'ôter de la couronne de Votre Majesté sa pierre la plus précieuse, la réduire en poudre, la mélanger à de l'eau et donner le tout à boire à votre fils.
– Qu'attends-tu pour le faire ? répondit le roi sans hésiter.
– Majesté, je crois de mon devoir de vous avertir que le prince est si malade qu'une bonne partie de ce breuvage pourrait se perdre. Acceptez-vous, malgré cela, de sacrifier la pierre la plus précieuse de votre couronne pour tenter de sauver la vie de votre fils, le prince bien-aimé ?
– Quelle question ! répondit le roi. Même si une seule goutte du remède pouvait le sauver, je sacrifierais avec joie la pierre la plus précieuse de ma couronne.
Le Baal Chem Tov et ses disciples se rendaient compte que les temps avaient changé, que le peuple juif (que D.ieu, le Roi des rois, a appelé « Mon fils aîné, Israël ») était très « malade », et qu'il avait grand besoin du « remède » spécial préparé avec la « pierre la plus précieuse » de la « Couronne Royale » pour revenir à la vie, à la Torah de vie (Torath 'Haïm). C'est pourquoi, même si une partie s'en « perd », du moment que quelques gouttes peuvent être absorbées par le fils bien-aimé et lui apporter une nouvelle vie, cela suffit à faire le grand sacrifice de la pierre la plus précieuse de la couronne royale.
L'histoire que contait Rabbi Chnéour Zalman l'illustre bien.
Extrait du mensuel "Conversations avec les jeunes".









les groupes sont formés selon le nom des Rebbeïms Habad


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CHACUNE A REÇU UN CADEAU CORRESPONDANT A LA DÉCISION PRISE 
LE MOT DE LA DIRECTRICE

LA JOIE